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Noël une légende qui a réussi

Et si tout ce dont vous croyez depuis votre enfance peut apparaître faux et que tout n’était qu’un tissu de mensonge inventé au fil des années.

Noël fête chrétienne mais Jésus est-il né le 25 décembre ?

Le pape Libère qui, autour de l’an 354, aurait très judicieusement décidé de fixer la date de naissance du Christ le jour d’une fête païenne déjà bien installée dans les pratiques populaires de l’époque. Le choix s’est porté sur le 25 décembre, qui correspondait à la fête romaine du “soleil invaincu” (Sol invictus en latin). Un culte païen destiné à célébrer le solstice d’hiver, c’est à dire ce moment de l’année où les journées commencent à rallonger. Ce changement a été effectué pour que les païens acceptent plus facilement le christianisme. Plus fort encore, Jésus n’est pas né il y a 2014 ans. Notre actuel calendrier débute par convention avec la naissance de Jésus. En toute logique, Jésus serait donc né au tout début de l’an 1, ou à la toute fin de l’an -1, soit il y a presque 2014 années. Sauf que d’après les nombreux spécialiste qui se sont penchés sur la question depuis deux siècles, Jésus serait plutôt né en -5 ou en -7 .avant lui-même.

Le origines du Père Noël :

Ce n’est qu’au XIXème siècle qu’est apparu le Père Noël tel que nous le connaissons. Tout a commencé aux Etats-Unis, où Saint Nicolas avait été importé sous le nom de Santa Claus par les Hollandais émigrés. Tout d’abord, la date de distribution des cadeaux par Saint Nicolas fut progressivement déplacée au 25 décembre, pour coïncider avec Noël et en faire la fête des enfants. Puis, sous la plume d’un pasteur américain, Clement Clarke Moore, le personnage de Saint Nicolas fut adapté et adouci dans un poème intitulé “A Visit From St. Nicholas”. Ce texte, très largement diffusé, présentait Santa Claus comme un personnage débonnaire, qui avait perdu son caractère moralisateur et ses attributs épiscopaux mais avait gagné un bonnet bien chaud et huit rennes volant pour tirer son char… Puis, vers 1850, sous l’influence des illustrateurs John Tenniel et Thomas Nast, le Père Noël prit l’allure que nous lui connaissons aujourd’hui, celle d’un vieillard dodu vêtu d’un pantalon bouffant et d’une veste bordée de fourrure blanche. Pour toutes ces raisons Noël ne sera pas pour nous cette année, à part si vous avez des cadeaux ;).

Sommes-nous toujours en sécurité ?

Concerts, boites de nuit, cinémas, supermarchés, lieux de culte, plages, villes, restaurants tout ces lieux publics que nous fréquentons régulièrement. Mais somme nous toujours en sécurité nous jeunes de la Réunion ?
Qu’est ce que le plan Vigipirate et l’état d’urgence ?
Plan Vigipirate : Ce dispositif a été créé à la suite des attentats survenus en France dans les années 1990. Il concerne donc les risques liés à la menace terroriste en France et associe l’action des forces armées et de la police sur les sites sensibles. Les patrouilles mixtes armées-police sont assurées de 7 heures à 22 heures.
Il existe quatre niveaux d’alerte : “jaune”, “orange”, “rouge” et “écarlate”. Le niveau d’alerte “rouge” a été créé plus tard, après les attentats de Londres de juillet 2005, selon le ministère de l’intérieur.
Etat d’urgence : couvre feu à 20h !!! Pas le temps d’allez en boites

Le préfet Dominique Sorain précise comment sera appliqué l’état d’urgence dans l’île à partir de zéro heure ce vendredi (18/11/15). La classe politique est favorable à l’instauration de l’état d’urgence. Dominique Sorain ne devrait pas utiliser toutes les possibilités qui lui sont offertes. Des perquisitions restent malgré tout probables dans les milieux islamistes réunionnais. Une patrouille militaire des Fazsoi a été déployée à l’aéroport ; La surveillance est renforcée autour des installations et bâtiments sensibles, tels que les lieux de transits (port et aéroports), les centres commerciaux, les lieux de culte, les établissements scolaires et les bâtiments publics. Les services de gendarmerie, de police et de renseignements demeurent en alerte permanente pour la protection de la population ; Des consignes de prévention et de vigilance sont données à l’ensemble des collectivités territoriales .

Mais même avec ces disposition les jeunes ont toujours peur. De quoi les jeunes ont-ils peur ? Ces peurs sont-elles accentuées par les attentats ?
« J’ai peur de perdre mes proches, est ce que j’ai peur … oui un peu plus depuis les attentats » « J’ai peur que mamie meure et maintenant avec les attentats j’ai plus peur […] Moi aussi j’ai peur de perdre mes proches, on se rend compte que l’on peut mourir au hasard et à n’importe quel moment…» racontent les élèves. Plan Vigipirate, états d’urgence, fermeture des frontières tant de décisions prises…Mais somme nous toujours en sécurité nous jeunes qui aimons les sorties et les lieux public ? Malgré les dispositions prises la sécurité ne peut être garantit à 100 %. Un attentat peut arriver à tout moment et en tout lieu mais la présence militaire peut effrayer les terroristes et les dissuader de commettre un attentat.

Sébastien Grenier, Agnès Judith et Julie Chang-Leng.

Les rôles du journaliste dans la société

Le rôle du journaliste est de transmettre une information :

La mission essentielle du journaliste consiste à transmettre une information sur n’importe quels sujet et support, en la rendant compréhensible et accessible à divers publics (lecteurs, auditeurs, téléspectateurs, internautes…). Le rôle du journaliste est de faire avancer ces fins en recherchant la vérité et en fournissant des comptes rendus équitables et simples des événements et sujets importants qu’il est amené à relater. Quel que soit son média, le journaliste s’efforce de servir le public avec minutie et honnêteté. L’intégrité professionnelle est la pierre angulaire de la crédibilité d’un journaliste.
Le journaliste est donc d’abord un rédacteur, y compris dans l’audiovisuel. En effet, un journal radio ou télé est rédigé avant d’être lu au micro.

Les membres de la Société des journalistes professionnels partagent un souci déontologique et adoptent ce code pour professer les principes et normes des pratiques journalistiques de la Société.
Les médias sont garants d’un droit fondamental, le droit à l’information, qu’il convient d’exercer en toute liberté mais avec responsabilité. Le droit à l’information n’est pas l’apanage des autorités politiques. Il n’appartient pas non plus aux propriétaires des médias, pas plus qu’il n’est le monopole des journalistes. C’est la communauté qui est détentrice du droit d’information : elle a le droit d’informer comme d’être informée.
Liberté d’expression ne signifie pas liberté de dire et d’écrire tout ce qui nous passe par la tête, mais d’exprimer, avec responsabilité, ce qui peut contribuer au bien de nos communautés, voire de l’humanité.

Les journalistes s’imposent pour ce faire des normes qui découlent des obligations de diffuser des informations vérifiées ,recueillir et diffuser les informations de manière indépendante ,agir loyalement, respecter les droits des personnes

Julie Chang-Leng, Sébastien Grenier et Agnès Judith.